Inferno, un film d’énigmes et de suspens

Inferno est l’ultime volet de la trilogie tirée des romans de Dan Brown. Il fait suite à «Da Vinci Code» et «Anges et Démons».

Dans ce film, Robert Langdon (Tom Hanks) se réveille dans un hôpital à Florence. Il ne se souvient de rien mais a beaucoup de visions. Le docteur Sienna Brooks (Felicity Jones) va s’occuper de lui et l’aider à retrouver la mémoire.

Mais le temps presse. Robert doit empêcher un malfaiteur de contaminer la planète entière avec un terrible virus...

Pour cela il doit résoudre des énigmes à l’aide d’un pointeur qui projette ses indices sur différent supports à l’instar d’un beamer miniaturisé. Il s’agit du pointeur de Faraday, mystérieusement apparu parmi ses affaires à l’hôpital.

Langdon va-t-il arriver à percer tous ces mystères et, par la même occasion, sauver la planète d’une pandémie ?

Les premières scènes du film se déroulent dans la chambre d’un hôpital situé juste en face du Palazzo Vecchio et du Duomo de Florence. Ayant passé mes dernières vacances dans cette ville, j’ai eu du plaisir à revoir ces magnifiques monuments au cinéma.

Omar Sy a un rôle très différent de son registre habituel. Il interprète de manière crédible, Christophe Bouchard, un agent à la tête de la division pour la prévention et le contrôle des maladies.

C’est un film exaltant, bourré d’action et sans temps mort. On ne s’ennuie jamais. J’apprécie aussi le contexte historique de ce thriller.

J’ai été déçu quand le générique de fin est arrivé. Je me suis dit, m…, c’est déjà fini ?!

Je le recommande aux amateurs de films historiques et à ceux qui ont apprécié les deux épisodes précédents.